Voix d'Afrique N°85

Nos défunts

Nous prions pour nos défunts


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Chez nos confrères
A Pontoise
* P. Roger-Fagnot, 84 ans, de Lille (Mours)
A Tassy
* P. Henri Savatier, 86 ans, de Poitiers, Fr. Jean Martial Lenain, 82 ans, de Pontoise
A Paris
* P. René Le Clerc, 84 ans, de Nantes
A l’Abbaye de Bellefontaine (49)
* P. Louis Nouaille-Degorce, 84 ans, d’Alge

Dans nos familles

Un frère du P. Poisson (Billère), du P. Raymond Gallard (Mours), du P. Pierre Vallée (Mours), du P. Gérard Chevillard (Billère)
Une soeur du P. du P. Jacques Hazard (Toulouse), du P. Jacques Hazard (Toulouse), P.Alexandre Houdant (+ 2009), du
P. Joseph Portier (Veyras - Suisse)
Une tante du P. du P. Louis Nouaille Degorce (+ 2010), du P. Jean-Claude Paillard (Tassy)
Un oncle du P. Michel Lepage (Bry)
Une nièce du P. Philippe Thiriez (Bouvines)
Un cousin du P. René Huchon (+1982), du Fr. Michel Dubois (Friant), du P. René Huchon (+1982), du Fr. Michel Dubois (Friant)
Une belle-soeur du P. du P. Pierre Faillie (Bry)
Un beau-frère du P. Jean Le Vacher ((Uganda)

Monsieur Marcel Chanal, ancien PB du Burkina Faso (Courbevoie)

Seigneur, reçois-les dans ta lumière auprès de Toi

Automne de la vie

L’aide fatale
Dambisa Moyo

Pourquoi l’aide au développement ne marche pas et comment mieux soutenir l’Afrique.

Dambissa Moyo, économiste zambienne, n’est pas la première à critiquer les programmes occidentaux d’aide aux pays africains, mais jamais le procès n’a été fait avec autant de rigueur et de conviction.
Pourquoi, demande Moyo, la majorité des pays subsahariens se débattent-ils dans un cycle sans fin de corruption, de maladies, de pauvreté et de dépendance bien qu’ils aient reçu plus de 300 milliards de dollars depuis 1970 ?

Sa réponse : les Africains sont pauvres à cause de cette assistance. Entre 1970 et 1998, quand l’aide était à son maximum, le taux de pauvreté s’est accru de façon stupéfiante : il est passé de 11 % à 66 %. Pour Moyo, les prêts à des conditions très favorables et les subventions (secours d’urgence) ont des effets comparables à la possession de ressources naturelles précieuses, c’est une sorte de malédiction, car ils encouragent la corruption et sont source de conflits tout en décourageant la libre entreprise.

Moyo propose quatre sources de financement exempt des effets nuisibles :
* Utiliser des marchés internationaux d’obligations en tirant parti des rendements décroissants.
* Encourager la politique chinoise d’investissement dans les infrastructures.
* Se battre contre l’Europe et les États-Unis pour développer les exportations des produits alimentaires et les matières premières.
* Encourager les intermédiaires financiers, la micro-finance. Une thérapie de choc qui peut paraître draconienne. Un livre qui suscite un débat très vif et très utile.

Dambisa Moyo, L’aide fatale : Les ravages d’une ai-de inutile et de nouvelles solutions pour l’Afrique. Éd. JC Lattès 2009. 20 €


Photo au milieu de la revue

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