Nous prions pour nos défunts

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Chez nos confrères
A Marseille
* le Père Gabriel Deville, 83 ans, de Saint-Etienne
A Pau
* Le Père François Payeur, 98 ans, de Saint-Dié
A Mours
* Le Père Michel Crampon, 82 ans, d’Amiens.

Le Père Jacques Durant, 84 ans, de Malines-Bruxelles. Il est resté très longtemps à Mours

Dans nos familles
La maman du P. Benoît Bernard (Mali)
Un frère du P. Joseph Vanrenterghem (Bry), du P.Gérard Guirauden (Billère), du Fr. Gabriel Muratet (Lyon), du P.Joseph Perrier (Friant), du P.Jean Pruvost (+ 1977), du P. Joannes Liogier (St Foy-lès-Lyon)
Une soeur du P. Henri Malicet (+ 1996), du P. Gabriel Pichard (Bry), du P.Henri Valette (Uganda)
Un oncle du P.Jean-Claude Paillard (Tassy)
Une belle-soeur du P.Philippe Thiriez (Bouvines), du P. Xavier Kieffer (Limersheim)
Un neveu du P. Joseph Oliveau (Billère), du Fr. Gabriel Muratet (Lyon)
Une nièce du P. Charles Mayaud (Mours)
Un cousin du Fr. Jacques Bufferne (Mours)
Une cousine du P. Roger de Benoist (Bry-sur-Marne)

Seigneur, reçois-les dans ta lumière auprès de Toi

LES SIGNES POURPRES
RECIT AFRICAIN
par A. Barguillet

Lors d’un séjour dans sa Normandie natale, Aubin raconte à ses neveux les grands moments de son existence de médecin et missionnaire en Afrique. Après un service militaire consacré à soigner les malades dans le sud algérien, diverses rencontres, dont celle d’un vieux Kabyle, vont l’inciter à devenir Père Blanc pour se mettre au service des autres.

Ordonné prêtre, il va d’abord au Soudan pour y soigner les lépreux, puis au Kenya auprès des tribus Kikuyu et Massaï.

C’est là qu’Aubin va faire la connaissance de Moye, un jeune massaï de 15 ans, en phase d’initiation, que le chef religieux de la tribu amenait au centre pour une blessure en fait bénigne. Ce chef va charger le missionnaire d’apprendre à l’adolescent la lecture et l’écriture car - dit-il - ce garçon est exceptionnel.

Plus tard, Aubin sauvera Moye d’une péritonite et l’amitié entre le missionnaire et l’adolescent prendra une dimension tout autre, renforcée par le partage de faits surprenants. Moye sensibilisera Aubin au monde animal et lui permettra de regarder l’Afrique comme une terre initiatrice qui remet l’homme dans la perspective de ses origines.

Parvenu à la fin d’un récit riche en aventures diverses, Aubin pouvait affirmer à son auditoire que l’Afrique avait eu le mérite de le guérir des doutes que le monde occidental avait levés en lui : “ Son désert me rendit la foi, son silence, l’écoute intérieure, sa population, la ferveur, son monde animal, la joie.”

Les signes pourpres - Récit africain
Armelle Barguillet Hauteloire
Editeur : Atelier Fol’fer 2009 18 €

Meilleurs Voeux 2010

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