Voix d'Afrique N°74

Nos défunts

Nous prions pour nos défunts


Voir aussi Biographies



À Bry-sur-Marne :
le Frère Jacques BAUDRIT, 74 ans, de Malines-Bruxelles ;
le Père Albert DELISSE, 91 ans, d’Arras ;
Mgr Jean MAKSUD, 80 ans, de Bayeux

À Grasse : le Père Robert CASPAR, 83 ans, de Nanterre

À Mours : le Père Joseph COURBON, 74 ans, du Puy

À Tassy : le P. Xavier HENRY, 93 ans, de Reims

À Paris : le P. René ANDRÉ, 77 ans, de Nancy

À Billère : le P. Georges POUVREAU, 94 ans, de Nantes

À Pontoise : le P. René DUJARDIN, 87 ans, d’Arras

À Sierre (Suisse) : le Père Josef BRUNNER, 85 ans, de Bâle. Il fut pendant de nombreuses années le
rédacteur des articles en allemand pour l’encart Alsace- Lorraine de “Voix d’Afrique”

La mère du P. José Tomas (Verlomme)

Une soeur du P. Joseph Gelot (+2003)

Un frère
du P. Bernard Verspieren (+2003) ;
du P. Xavier Henry (+ 14/01/07) ;
du P. Michel Crampon (Mours) ;
du P. Gabriel Pichard (Burkina Faso) ;
du P. Max Tertrais (Tanzanie)

Une tante
du P. Armand Duval (Saint-Malo) ;
du P. Fernand Gruber (Ingwiller)

Un oncle
du P. Guy Vuillemin (Verlomme) ;
du P. Jean-Yves Chevalier (Verlomme)

Une nièce
du P. Rémy Puiroux (Billère) ;
du P. Philippe Thiriez (Ste Foy-lès-Lyon)

Une beau-frère
du P. Jean Devriésère (Ste Foy-lès- Lyon) ;
du P. Jacques Vanderhaeghe (Billère)

Madame Françoise GUIBERT, belle-mère deMme Francine Guibert, Présidente de la Fédération des
AAPB
Monsieur Dominique CHATILLON, conseiller financier des Missionnaires d’Afrique depuis 20 ans

Seigneur, reçois-les dans ta lumière auprès de Toi

Lecture

LA HAINE N'AURA PAS LE DERNIER MOT
de Christel Martin

Au Burundi, pays voisin du Rwanda, ravagé par les massacres interethniques, la misère et le sida, une femme d'exception se bat pour que la haine n'ait pas le dernier mot. Cette haine, Marguerite Barankitse, que tous surnomment Maggy, l'a vécue dans son expression la plus inhumaine lorsqu'en 1993, soixante-douze personnes sont assassinées sous ses yeux. Au cœur de cette barbarie, elle parvient, au risque de sa vie, à sauver vingt-cinq enfants avant d'en recueillir des centaines d'autres dans l'enfer de la guerre civile. Aujourd'hui, " Maison Shalom ", ONG qu'elle a créée, rassemble plus de dix-mille enfants, nourris, scolarisés, réintégrés dans leur famille ou réunis dans des maisons où se réinvente une responsabilité solidaire. Surtout, ces enfants bénéficient d'une éducation à la paix, au pardon et au respect, qui fait d'eux une nouvelle génération de jeunes citoyens plaçant leur humanité au-delà de toute appartenance ethnique - hutue, tutsie ou twa.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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